Gwenaëlle Abolivier est
Directrice artistique et littéraire, autrice associée à la Maison Julien Gracq.
Son dernier récit La forme du fleuve a paru en avril 2023, chez Le Mot et le Reste.
Elle est aussi une voix de France Inter. Formée à l’école de Claude Villers, elle parcourt le monde pendant 20 ans en tant que reporter pour les ondes de France Inter, France Culture et RFI. Elle intervient également sur les ondes de la RTS (Radio Télévision Suisse francophone ). Aujourd’hui, elle privilégie l’écriture littéraire et participe à des revues avec ArMen et Latitude mer.
Son écriture littéraire puise ses racines dans le voyage au long-cours et les horizons du monde entier. Elle est l’autrice de récits de voyages et d’anthologies, de textes poétiques et de scénarii ainsi que des livres illustrés pour la jeunesse. Elle anime des ateliers d’écriture littéraire et radiophonique.
Gwenaëlle Abolivier est l’autrice de :
*Lettres océanes (Glénat, 2010)
*Alexandra David-Néel, une exploratrice sur le toit du monde ( À dos d’âne, 2012)
*De Saint-Malo ( Les petites Allées, 2013 )
*Ouessant et quelques éclats de phare ( Les petites Allées, 2018)
*Ecrire d’amour à 20 ans ( A dos d’âne, 2014 )
*Le timbre de l’amitié, lettres de jeunesse ( A dos d’âne, 2015)
*Tendre est l’écrit ( A dos d’âne, 2016 )
*Vertige du Transsibérien ( Naïve, avril 2015 )
*Te souviens-tu de Wei ? illustré par Zaü ( Hongfei, 2016 )
*Qui a vu Monsieur Corbu ? ( Editions Bernard Chauveau, 2016)
*Tu m’avais dit Ouessant ( Le Mot et le Reste, 2019 ) puis en juin 2021 chez Pocket. Ce récit maritime obtient le Prix Bravo Zulu, 2020.
*La Fiancée, (Soleil/Noctambule, 2021) avec les illustrations d’Eddy Vaccaro
* Marche en plein ciel ( Le Mot et le Reste, 2022), récit est en lice pour le prix Habiter le monde, 2022.
*L’invention des dimanches, (Editions du Rouergue, 2022) avec les illustrations de Marie Détrée, peintre officiel de la Marine.
Bonjour Gwenaëlle! J’ai une photo sans légende de Pierrot enfant, que j’avais déchiré dans un magasine et dont je ne connaissais pas la légende. Je me suis toujours demandé qui était ce jeune homme, ce qu’il était devenu et cette photo, épinglée d’un mur d’atelier à l’autre m’a toujours accompagnée; je voulais en faire un tableau. Elle est désormais dans une caisse quelque part attendant mon futur atelier. Je connais maintenant le nom de cet enfant et j’apprends qu’il a un petit lien, par l’histoire de la pêche, avec Saint-Pierre. Et que la photo a dû être prendre par Anita Conti. Une bonne excuse pour me procurer un de ces livres..
Merci!
Bonne journée et bon weekend,
Raphaële
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