Il y avait eu le colloque international ILES 2019, il y a aujourd’hui ce beau livre qui en est la synthèse : ÎLES, Regards croisés sur l’insularité ( Géorama), initié par Julie Vallat de la Fondation de France et Louis Brigand professeur émérite de géographie à l’Institut universitaire européen de la mer ( IUEM ) à Brest.
Ce livre-archipel a été imaginé autour de cinq angles : Créer, Habiter, Protéger, Relier et Innover.
Cet ouvrage collectif, qui relie les 300 000 îles du monde, est une mine d’informations et de témoignages d’îliens, de contributions de chercheurs ( 80 articles ) et de regards de créateurs ( écrivain, musicien, documentariste ).
C’est l’occasion de revenir sur mon expérience d’écriture au sémaphore d’Ouessant, désarmé en 2000 et transformé en résidence d’artistes. C’est à la chambre de veille et dans la lande que j’ai écrit Tu m’avais dit Ouessant ( Le mot et le reste, 2019 ).
Les îles du monde ont ma préférence ! Souvent à l’avant-garde, il faut les regarder comme de petits laboratoires où s’inventent de nouvelles pratiques. Toutes différentes, elles ont en commun d’être fragiles face à la crise climatique, à la pression foncière ou encore le tourisme croissant… à l’image de notre planète toute entière.
Bientôt, je vous raconterai les îles de la Loire ! 😉
Le blog de Gwenaëlle Abolivier 
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